

février - mars 2016
•
anform !
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ma
santé
Poil
Si les poils servent certes de moyen d’écoule-
ment de la sueur, leur présence (ou absence)
ne modifie par la quantité de sueur produite.
Reste que certaines pathologies liées à la
sueur (transpiration qui colore la peau et les
vêtements, dépôts le long des poils) sont
dues à la présence de bactéries dont les poils
peuvent favoriser la multiplication. Mais atten-
tion : pas de déo sur une peau fraîchement
épilée ou rasée !
Parfum
La sueur demeure un vecteur hormonal
important. Les aisselles masculines
contiendraient des composés pouvant
agir sur l'humeur féminine et même
favoriser la sécrétion, chez la femme,
d'une hormone impliquée dans... l’ovu-
lation ! Une hormone présente dans
la sueur masculine, connue pour ses
effets potentiels (et inconscients) sur
l'excitation féminine est même utilisée
comme additif dans certains parfums !
Sébum
En se mélangeant au sébum, la
sueur forme une couche protectrice
pour la peau.
Zen
Face à une situation de stress ou d’émotions
fortes, notre système nerveux libére certaines
hormones telles l'adrénaline, la noradrénaline,
la dopamine. Or ces hormones, impliquées
dans l'activation des glandes sudoripares,
vont alors surexciter ces dernières. Résultat :
une transpiration excessive va indéniablement
traduire nos émotions. Restez zen !