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anform !
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décembre - janvier 2016
ma
santé
Savez-vous…
Faut-il savoir faire des pliages pour devenir un bon médecin ? Peut-on tout avaler ?
Pourquoi est-il dangereux de faire des selfies ? L’odeur du bonheur peut-elle se partager ?
Des questions insolites et des réponses toutes aussi surprenantes.
L
e film
La mule
a officialisé
un exercice connu. L’esto-
mac de certaines personnes
sert à transporter des produits
stupéfiants à travers les fron-
tières. Il en est ainsi de cet
homme de 24 ans, arrêté en
juin à l’aéroport de Lisbonne
avec 59 capsules de cocaïne
dans l’abdomen. Un triste
record. Mais d’autres objets
tout aussi surprenants sont
retrouvés parfois dans des
ventres. En voici le top 3.
3
e
: des clous et des pièces
de monnaie.
Près d’1 kilo de
ferrailles a été retrouvé dans
un Péruvien de 34 ans en
novembre 2009.
2
e
: un stylo en plastique.
Il était là depuis au moins
25 ans, caché au plus profond
d’une Anglaise souffrant de
douleurs abdominales.
1
er
: or et diamants.
Un voleur
espagnol désireux de cacher
son butin, constitué d’environ
12 000
de diamants. Ou bien
un Indien, souhaitant échap-
per aux douaniers et dissimu-
lant pour 11 500
de pépites.
L’estomac est un formidable
coffre-fort... qui mène tout
droit à la table d’opération.
... que certains prennent
leur estomac pour un coffre-fort ?
... que des carabins japonnais peuvent
subir une épreuve de micro-origami ?
Avant d’accueillir de nouveaux médecins, au Japon, on
teste leur patience et leur dextérité en leur faisant faire...
des pliages miniatures. À l’aide de loupes, de pinces de
précision, les candidats réalisent des figurines de
très petite taille (quelques millimètres). D’autres sont
soumis à l’épreuve de micro-sushis. Et les étudiants
semblent comprendre les enjeux d’une telle épreuve.
... que le bonheur,
ça se sent ?
Et ça se partage !
Tout simplement parce
que ça sort des pores de la
peau, avec la transpiration.
C’est le résultat d’une étude
européenne qui détermine
que chacun d’entre nous
sécrète des odeurs “posi-
tives” lorsqu’il est heureux.
Votre entourage en profite
et peut lui aussi être “conta-
miné” par votre parfum
joyeux. Nous sommes donc
bien sensibles aux phéro-
mones des autres. Quel
meilleur parfum que celui
du bonheur ?