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anform !
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juillet - août 2015
actu
Depuis 2004, la Chambre d’agriculture de Baie-
Mahault organise des collectes de ramassage des
déchets plastiques issus de l’agriculture. En 10 ans,
88,5 tonnes de déchets plastiques ont été collectés
et recyclés. Plus simple encore, 1 500 acteurs ont
éliminé l’usage de ces plastiques de leur activité
professionnelle. Un long chemin reste encore à
parcourir : seuls 4 % des agriculteurs (sur un total
de 8 000) participent aux collectes.
RAMASSAGE DES DÉCHETS
PLASTIQUES AGRICOLES
Guadeloupe
Cette nouvelle extension se présente comme
une garantie pour les utilisateurs des sites
adhérents de trouver des informations sûres et
validées, légales et éthiques.
À l’origine, la
National association of boards
of pharmacy
a mené une étude sur plus
de 10 000 sites de médicaments en ligne et
constaté que 97 % d’entre eux ne respectent
pas les lois et normes protégeant la santé
publique. Pour accéder au “.pharmacy”, les
candidats doivent prouver qu’ils respectent les
normes et politiques instaurées par un regrou-
pement international dont fait partie la Fédéra-
tion internationale pharmaceutique.
Qu’il soit provoqué par manipula-
tion directe de pesticide, emploi du
produit, par contact ou inhalation,
par contact avec les cultures, les
surfaces, les animaux traités, ou lors
de l’entretien des machines ayant
servi à l’épandage, un cancer (le
lymphome malin non hodgkinien) est
dorénavant reconnu comme maladie
professionnelle.
Exposition
aux pesticides :
maladie professionnelle
1 Guadeloupéen
sur 8
est concerné par
la drépanocytose.
Les sargasses
sont de retour !
Picotements des yeux, éternuements, rhinites, réac-
tions cutanées... les émanations gazeuses provenant
des sargasses peuvent provoquer différentes réactions
selon les personnes. Avec le retour constaté de
plaques d’algues flottant à la surface, les recom-
mandations se font plus pressantes. Notamment en
direction des individus déjà sensibles ou atteints de
troubles respiratoires. Éloignez-vous le plus possible
des lieux d’entassement des algues.
Le “.pharmacy” :
une garantie pour l’utilisateur