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anform !

janvier - février 2017

Cette méthode de soin est aujourd’hui

pratiquée dans les hôpitaux,

notamment au Centre de cancérologie

Paris-Nord. C’est une médecine non

conventionnelle qui intervient sur

le pavillon de l’oreille en utilisant

des aiguilles, des aimants ou la

cryothérapie. Dans les traitements

anticancéreux, elle vient en support

de la chimiothérapie, de la chirurgie

et de la radiothérapie. Elle offre, par

exemple, une diminution des effets

secondaires des traitements (nausées,

vomissements…).

L’auriculothérapie

à l’hôpital !

Le 7 décembre dernier, le Sénat

a adopté la proposition de loi

relative à la “suppression de

la publicité commerciale dans

les programmes jeunesse de

la télévision publique”. Aucune

publicité ne pourra être diffusée

dans les 15 min qui précèdent ou

suivent les émissions destinées au

moins de 12 ans. Il ne reste plus

qu’à étendre cette interdiction aux

chaînes privées !

TV : exit la pub

dans les programmes pour enfants !

Première structure de ce type à ouvrir en Guadeloupe, elle fait partie d’une

expérimentation nationale visant à mettre en place une nouvelle o re de

soins pour l’accompagnement de la naissance. Elle s’adresse aux couples

accueillant une grossesse normale et souhaitant accoucher naturellement, tout

en béné ciant d’un accompagnement personnalisé et de la sécurité médicale

moderne. Structure indépendante et autonome, la maison de naissance

“Le

temps de naître”

est gérée par une équipe de 4 sages-femmes. Elle est adossée

à la clinique des Eaux Claires.

Ouverture

d’une maison de la naissance

© ThiNKsTocK

C’est le nombre de

maladies rares aujourd’hui

identi ées dans le monde

(80 % sont d’origine

génétique). Une maladie

est dite“rare”si elle touche

moins d'une personne

sur 2 000. En France,

3 millions de personnes

sont concernées, 1 sur 20.

7 000

Virus :

plus agressifs

avec les hommes ?

Certains virus n'agissent pas avec la même intensité chez les hommes

que chez les femmes. Une étude britannique publiée dans la revue

Nature

Communications

montre qu'ils seraient moins agressifs chez les femmes

pour des raisons d'évolution. Explications : si la mortalité par maladies

infectieuses est plus élevée chez les hommes, ce serait parce que les virus

préfèrent garder les femmes en vie en étant plus modérés. Car l’intérêt

du virus est de se propager. Or, les femmes lui fournissent des possibilités

supplémentaires de transmissions (transmission à l'enfant pendant la

grossesse, la naissance et l'allaitement). Simple stratégie de survie.

Guadeloupe

actu