ANFORM MARTINIQUE N82
86 anform ! • janvier - février 2019 © ISTOCKPHOTO Peser… le pour et le contre se fier ? Mécanique, électronique, avec ou sans impédancemètre, pourquoi pas connecté ? Au rayon pèse-personnes, l’offre s’est considérablement enrichie avec des modèles aux fonctions évoluées. Comment choisir ? PAR ANNE DE TARRAGON À quelle balance 1 Le pèse-personne mécanique C’est le modèle le plus ancien du marché. Il possède un grand cadran où le poids s’inscrit de manière analogique grâce à une aiguille. Il permet de mesurer la masse, grâce à un ressort qui s’étire lorsqu’on monte sur l’appareil. Solide, il résiste à beaucoup d’aléas, de l’humidité aux chocs. Sa durée de vie est d’une bonne vingtaine d’années. Pas de problème de piles à changer, ni de bug électronique. D’une utilisation extrêmement facile, d’une lecture aisée, économique à l’achat comme au fonctionnement, il supporte même les poids les plus importants, généralement jusqu’à 200 kg. Ses points faibles : son manque de précision avec des graduations par 500 g, voire 1 kg. Son design vieillot et son encombrement. 2 Le pèse-personne électronique Le pèse-personne à affichage digital ou pèse-personne électronique est beaucoup plus précis qu’un mécanique, car il affiche de manière très lisible, sur un petit écran LCD un poids à deux décimales, autrement dit au gramme près ! Il nécessite cependant une source d’énergie (du type pile électrique) ou pour les plus modernes, une batterie rechargeable, qu’elle soit électrique, solaire ou photovoltaïque.
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