ANFORM MARTINIQUE N81
14 anform ! • novembre - décembre 2018 Le Serac Antilles-Guyane en collaboration avec le sculpteur Jérôme Jean-Charles a réalisé une sculpture monumentale en hommage à la communauté sourde de Guadeloupe et à la langue des signes, richesse linguistique en manque de reconnaissance dans l'archipel. Cette sculpture représentant une oreille géante sera exposée sur le rond- point de la Jaille à Baie-Mahault, à partir du 23 novembre, date de son inauguration. MA SOURDE oreille Trois classes du lycée agricole de Baie-Mahault ont préparé des produits agrotransformés pour Carl Chipotel, skipper de la Route du Rhum. Ainsi, le marin pourra emporter à bord de son bateau des produits agrotransformés pour conserver une alimentation plus saine et un lien avec sa région. Dans leur laboratoire, les élèves, de première et terminale STAV, et de BTS A3, option développement agricole des régions chaudes, transforment des produits 100 % locaux. Papaye et ananas séchés, chips de banane, jus de moringa… ces denrées sont spécialement préparées pour lui et emballées sous vide pour faire le plein régulier d’énergie durant la course. actu Une nouvelle étude multicentrique a mis en évidence que la propagation bactérienne dans les sanitaires est réduite lorsque le séchage des mains est réalisé par des essuie-mains en papier plutôt que des sèche-mains à air pulsé. L’étude, dirigée par le professeur Mark Wilcox de l’Université et du Centre hospitalier universitaire de Leeds, a été menée en France, en Italie et au Royaume-Uni. Des bactéries antibiorésistantes (dont des Sarm et des entérocoques résistants aux bêta-lactamases à spectre élargi) ont été détectées en plus grandes concentrations dans les sanitaires dotés de sèche-mains à air pulsé. Séchage des mains à air pulsé : attention bactéries ! Guadeloupe Route du Rhum : Carl Chipotel mange local © CARL CHIPOTEL _ ROUTE DU RHUM 2018 À l’instar de l’ensemble des consommateurs européens, les Français préfèrent les appareils de classe A et A+, pour respectivement 28 % environ des demandes, toutes catégories d’appareils confondues. C’est-à-dire les appareils parmi les moins polluants (3 e et 4 e rang), alors qu’ils ne font pas partie des moins coûteux. Ces 2 catégories représentent donc ensemble plus de 50 % de leurs achats. Et, au total, les classes A représentent plus de 85 % des demandes. Guadeloupe Électroménager : les Français ont la classe… A !
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